Le lundi (10 novembre) heure locale, le président américain Donald Trump a exprimé son soutien à un accord bipartite pour mettre fin à la fermeture du gouvernement américain. Bloomberg rapporte que cette avancée cruciale pourrait permettre au gouvernement de rouvrir dans quelques jours. Trump a déclaré aux journalistes dans le bureau ovale de la Maison Blanche : « Nous avons obtenu le soutien de suffisamment de démocrates, nous allons rouvrir notre pays. » Dans une atmosphère optimiste, le Dow Jones a clôturé en hausse de près de 400 points lundi, et l’indice S&P 500 a augmenté de 1,54 %.
Trump, dans le bureau ovale, soutient l’accord bipartite
(Source : Bloomberg)
Lundi, lors d’une interview dans le bureau ovale, Trump a indiqué qu’il soutenait cet accord, qui a franchi une étape importante dans le processus au Sénat dimanche soir. C’est la première fois que Trump exprime publiquement son soutien clair à une solution concrète pour mettre fin à la fermeture du gouvernement, marquant la fin imminente d’un blocage politique de 41 jours. Trump a déclaré aux journalistes : « Ils (les deux partis) veulent modifier légèrement l’accord, mais je dirais que je soutiens. D’après ce que j’ai entendu, ils n’ont rien changé. Nous avons obtenu le soutien de suffisamment de démocrates, nous allons rouvrir notre pays. La fermeture du gouvernement est regrettable, mais nous allons bientôt le rouvrir. »
L’engagement de Trump est crucial, car dans le système politique américain, la position du président influence souvent le vote des républicains au Congrès. Bien que le cadre de l’accord ait été convenu au Sénat, l’attitude floue de Trump suscitait des inquiétudes chez certains républicains, craignant qu’un soutien à l’accord ne soit critiqué par le président. Sa déclaration claire a éliminé ces doutes, facilitant l’adoption de l’accord à la Chambre des représentants.
Interrogé sur la possibilité de revenir sur les licenciements massifs causés par la fermeture, Trump a répondu qu’il respecterait « l’accord ». Cette déclaration laisse entendre qu’il est prêt à faire certains compromis pour mettre fin à la fermeture, sans insister sur des positions rigides. Cette attitude pragmatique contraste avec ses propos plus radicaux durant la campagne, montrant que Trump prend conscience que la prolongation de la fermeture nuit à sa réputation politique et à l’économie.
Le leader de la majorité au Sénat, John Thune, a indiqué qu’il s’attendait à ce que Trump signe la loi une fois qu’elle sera adoptée par le Congrès. Cette anticipation donne une confiance claire aux marchés, qui croient que la fin de la fermeture est désormais assurée, et non simplement une étape de négociation. Si la loi est adoptée, elle sera envoyée à la Chambre pour un vote, puis signée par Trump, ce qui officialisera la fin de la fermeture.
Les marchés américains enregistrent leur meilleure journée depuis mai, euphorie du marché
Dans une ambiance optimiste, le Dow Jones a clôturé en hausse de près de 400 points lundi, le S&P 500 a augmenté de 1,54 %, et le Nasdaq a bondi de 2,27 %, réalisant ainsi ses meilleures performances quotidiennes depuis mai. Cette hausse généralisée et vigoureuse montre que le marché a réagi très positivement à la déclaration de Trump. Les investisseurs semblent penser que la fin de la fermeture du gouvernement éliminera une grande incertitude pour l’économie américaine.
Le Nasdaq, en hausse de 2,27 %, est particulièrement remarquable, car les actions technologiques sont généralement plus sensibles à l’incertitude politique. Pendant la fermeture, de nombreuses entreprises technologiques craignaient des retards dans les commandes publiques, un ralentissement des approbations réglementaires, et un risque accru de récession économique. La déclaration de Trump a dissipé ces inquiétudes, libérant une demande d’achat jusque-là contenue. La hausse de 1,54 % du S&P 500 reflète une reprise globale de la confiance du marché, couvrant plusieurs secteurs comme la finance, l’énergie et l’industrie.
Le gain de près de 400 points du Dow Jones témoigne également de la forte reprise des valeurs traditionnelles. Ces entreprises, souvent liées aux contrats gouvernementaux et aux dépenses d’infrastructure, bénéficieront du redémarrage des projets gelés, du paiement des factures retardées, et de la reprise des activités des employés licenciés durant la fermeture. Cela représente un signal positif pour leur flux de trésorerie et leurs perspectives commerciales.
Sur le plan technique, le S&P 500 et le Nasdaq ont inscrit leurs meilleures performances quotidiennes depuis mai, ce qui indique une rupture avec les oscillations des derniers mois. Si cette dynamique de hausse se poursuit, les marchés américains pourraient entrer dans une nouvelle phase de croissance. Cependant, il faut rester prudent : une hausse impulsée par la politique peut être volatile, et si l’accord rencontre des obstacles au sein de la Chambre, une correction brutale pourrait suivre.
Le Sénat adopte le projet à 60 voix, vote à la Chambre mercredi
Dimanche soir, le Sénat américain a adopté une mesure procédurale par 60 voix contre 40, permettant de faire avancer un projet de loi de crédits temporaires, une étape clé pour la relance du gouvernement fédéral. La majorité des 60 voix est significative, car selon les règles du Sénat, il faut au moins 60 voix pour mettre fin à un débat prolongé et passer au vote final. Cela indique que au moins 10 sénateurs démocrates ont voté en faveur, montrant un véritable soutien bipartite à l’accord.
Selon cet accord, le Congrès allouera des fonds pour le Département de l’agriculture, le Département des anciens combattants et le Congrès lui-même jusqu’en septembre 2026, tandis que d’autres agences recevront des financements jusqu’au 30 janvier. La loi prévoit également de payer les employés fédéraux en congé forcé, de débloquer les fonds fédéraux retenus pour les États et collectivités, et de rappeler les employés licenciés durant la fermeture. En outre, la loi interdira au gouvernement fédéral de procéder à des licenciements avant le 30 janvier.
Analyse des points clés de l’accord
Budget annuel : Département de l’agriculture, Département des anciens combattants, et le Congrès disposent d’un budget jusqu’en septembre 2026.
Budget temporaire : autres agences fédérales financées jusqu’au 30 janvier.
Protection des employés : versement des salaires, rappel des employés licenciés, interdiction de licenciements avant le 30 janvier.
Restitution des fonds fédéraux : paiement des fonds retenus aux gouvernements locaux et des États.
Le Sénat doit encore compléter des procédures potentiellement longues, tandis que les membres de la Chambre doivent revenir à Washington pour leur premier vote depuis le 19 septembre. Le Sénat devrait voter sur le projet de loi dans la soirée, puis il sera soumis à la Chambre pour approbation, probablement mercredi.
Le président de la Chambre, Mike Johnson, a indiqué qu’une fois le projet adopté par le Sénat, il préviendrait la Chambre 36 heures à l’avance pour que ses membres retournent à Capitol Hill. Ce calendrier signifie qu’après un vote probable mercredi, Trump pourrait signer la loi mercredi ou jeudi, permettant la réouverture du gouvernement avant la fin de la semaine.
Divisions au sein du Parti démocrate et défis pour l’accord
L’accord négocié par des sénateurs modérés n’a pas réussi à apaiser la lutte menée par les démocrates pour prolonger les subventions de la loi sur la santé abordable (Obamacare), ce qui a provoqué une forte opposition au sein du parti démocrate. Le gouverneur californien Gavin Newsom a qualifié l’accord de « décevant », tandis que le gouverneur de l’Illinois JB Pritzker a critiqué les concessions faites par les républicains comme un « chèque en blanc ».
Ces divisions internes révèlent la difficulté stratégique du Parti démocrate. Les progressistes estiment qu’il faut insister pour prolonger les subventions de l’assurance maladie, sans compromis ; les modérés pensent qu’il faut d’abord mettre fin à la fermeture, puis négocier pour la politique de santé. Finalement, la ligne pragmatique des modérés a prévalu, mais ces divergences pourraient resurgir lors du vote à la Chambre.
Bien que Johnson ait déclaré lundi qu’il pensait obtenir suffisamment de votes, l’adoption du projet par la Chambre n’est pas assurée. Les démocrates s’opposent à tout accord qui ne prolongerait pas les subventions Obamacare, et ce point n’est pas inclus dans le texte. Les républicains conservateurs souhaitent, eux, financer tout le gouvernement jusqu’au 30 septembre de l’année prochaine via une autre loi.
Un facteur complexe concerne le sénateur républicain du Kentucky, Rand Paul, qui pourrait faire traîner le vote de plusieurs jours en s’opposant à une clause limitant la vente de produits à base de cannabis alcoolisé. Connu pour ses principes et ses tactiques de retardement, il pourrait utiliser des moyens procéduraux pour bloquer le vote, retardant ainsi le processus de plusieurs jours.
Cependant, le marché semble estimer que ces obstacles ne seront pas suffisants pour empêcher l’adoption finale de l’accord. La forte reprise des marchés américains témoigne de la confiance dans la déclaration de Trump, qui pense que la fermeture prendra fin cette semaine. Les retards de vols et les retards dans l’aide alimentaire pourraient perdurer jusqu’à la réouverture officielle, mais lundi, les républicains ont célébré leur victoire. Johnson a déclaré aux journalistes que ce « cauchemar » de 41 jours touchait à sa fin.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Trump approuve la fin de la fermeture du gouvernement ! Bloomberg : la relance stimulera une forte hausse de 400 points du marché boursier américain
Le lundi (10 novembre) heure locale, le président américain Donald Trump a exprimé son soutien à un accord bipartite pour mettre fin à la fermeture du gouvernement américain. Bloomberg rapporte que cette avancée cruciale pourrait permettre au gouvernement de rouvrir dans quelques jours. Trump a déclaré aux journalistes dans le bureau ovale de la Maison Blanche : « Nous avons obtenu le soutien de suffisamment de démocrates, nous allons rouvrir notre pays. » Dans une atmosphère optimiste, le Dow Jones a clôturé en hausse de près de 400 points lundi, et l’indice S&P 500 a augmenté de 1,54 %.
Trump, dans le bureau ovale, soutient l’accord bipartite
(Source : Bloomberg)
Lundi, lors d’une interview dans le bureau ovale, Trump a indiqué qu’il soutenait cet accord, qui a franchi une étape importante dans le processus au Sénat dimanche soir. C’est la première fois que Trump exprime publiquement son soutien clair à une solution concrète pour mettre fin à la fermeture du gouvernement, marquant la fin imminente d’un blocage politique de 41 jours. Trump a déclaré aux journalistes : « Ils (les deux partis) veulent modifier légèrement l’accord, mais je dirais que je soutiens. D’après ce que j’ai entendu, ils n’ont rien changé. Nous avons obtenu le soutien de suffisamment de démocrates, nous allons rouvrir notre pays. La fermeture du gouvernement est regrettable, mais nous allons bientôt le rouvrir. »
L’engagement de Trump est crucial, car dans le système politique américain, la position du président influence souvent le vote des républicains au Congrès. Bien que le cadre de l’accord ait été convenu au Sénat, l’attitude floue de Trump suscitait des inquiétudes chez certains républicains, craignant qu’un soutien à l’accord ne soit critiqué par le président. Sa déclaration claire a éliminé ces doutes, facilitant l’adoption de l’accord à la Chambre des représentants.
Interrogé sur la possibilité de revenir sur les licenciements massifs causés par la fermeture, Trump a répondu qu’il respecterait « l’accord ». Cette déclaration laisse entendre qu’il est prêt à faire certains compromis pour mettre fin à la fermeture, sans insister sur des positions rigides. Cette attitude pragmatique contraste avec ses propos plus radicaux durant la campagne, montrant que Trump prend conscience que la prolongation de la fermeture nuit à sa réputation politique et à l’économie.
Le leader de la majorité au Sénat, John Thune, a indiqué qu’il s’attendait à ce que Trump signe la loi une fois qu’elle sera adoptée par le Congrès. Cette anticipation donne une confiance claire aux marchés, qui croient que la fin de la fermeture est désormais assurée, et non simplement une étape de négociation. Si la loi est adoptée, elle sera envoyée à la Chambre pour un vote, puis signée par Trump, ce qui officialisera la fin de la fermeture.
Les marchés américains enregistrent leur meilleure journée depuis mai, euphorie du marché
Dans une ambiance optimiste, le Dow Jones a clôturé en hausse de près de 400 points lundi, le S&P 500 a augmenté de 1,54 %, et le Nasdaq a bondi de 2,27 %, réalisant ainsi ses meilleures performances quotidiennes depuis mai. Cette hausse généralisée et vigoureuse montre que le marché a réagi très positivement à la déclaration de Trump. Les investisseurs semblent penser que la fin de la fermeture du gouvernement éliminera une grande incertitude pour l’économie américaine.
Le Nasdaq, en hausse de 2,27 %, est particulièrement remarquable, car les actions technologiques sont généralement plus sensibles à l’incertitude politique. Pendant la fermeture, de nombreuses entreprises technologiques craignaient des retards dans les commandes publiques, un ralentissement des approbations réglementaires, et un risque accru de récession économique. La déclaration de Trump a dissipé ces inquiétudes, libérant une demande d’achat jusque-là contenue. La hausse de 1,54 % du S&P 500 reflète une reprise globale de la confiance du marché, couvrant plusieurs secteurs comme la finance, l’énergie et l’industrie.
Le gain de près de 400 points du Dow Jones témoigne également de la forte reprise des valeurs traditionnelles. Ces entreprises, souvent liées aux contrats gouvernementaux et aux dépenses d’infrastructure, bénéficieront du redémarrage des projets gelés, du paiement des factures retardées, et de la reprise des activités des employés licenciés durant la fermeture. Cela représente un signal positif pour leur flux de trésorerie et leurs perspectives commerciales.
Sur le plan technique, le S&P 500 et le Nasdaq ont inscrit leurs meilleures performances quotidiennes depuis mai, ce qui indique une rupture avec les oscillations des derniers mois. Si cette dynamique de hausse se poursuit, les marchés américains pourraient entrer dans une nouvelle phase de croissance. Cependant, il faut rester prudent : une hausse impulsée par la politique peut être volatile, et si l’accord rencontre des obstacles au sein de la Chambre, une correction brutale pourrait suivre.
Le Sénat adopte le projet à 60 voix, vote à la Chambre mercredi
Dimanche soir, le Sénat américain a adopté une mesure procédurale par 60 voix contre 40, permettant de faire avancer un projet de loi de crédits temporaires, une étape clé pour la relance du gouvernement fédéral. La majorité des 60 voix est significative, car selon les règles du Sénat, il faut au moins 60 voix pour mettre fin à un débat prolongé et passer au vote final. Cela indique que au moins 10 sénateurs démocrates ont voté en faveur, montrant un véritable soutien bipartite à l’accord.
Selon cet accord, le Congrès allouera des fonds pour le Département de l’agriculture, le Département des anciens combattants et le Congrès lui-même jusqu’en septembre 2026, tandis que d’autres agences recevront des financements jusqu’au 30 janvier. La loi prévoit également de payer les employés fédéraux en congé forcé, de débloquer les fonds fédéraux retenus pour les États et collectivités, et de rappeler les employés licenciés durant la fermeture. En outre, la loi interdira au gouvernement fédéral de procéder à des licenciements avant le 30 janvier.
Analyse des points clés de l’accord
Budget annuel : Département de l’agriculture, Département des anciens combattants, et le Congrès disposent d’un budget jusqu’en septembre 2026.
Budget temporaire : autres agences fédérales financées jusqu’au 30 janvier.
Protection des employés : versement des salaires, rappel des employés licenciés, interdiction de licenciements avant le 30 janvier.
Restitution des fonds fédéraux : paiement des fonds retenus aux gouvernements locaux et des États.
Le Sénat doit encore compléter des procédures potentiellement longues, tandis que les membres de la Chambre doivent revenir à Washington pour leur premier vote depuis le 19 septembre. Le Sénat devrait voter sur le projet de loi dans la soirée, puis il sera soumis à la Chambre pour approbation, probablement mercredi.
Le président de la Chambre, Mike Johnson, a indiqué qu’une fois le projet adopté par le Sénat, il préviendrait la Chambre 36 heures à l’avance pour que ses membres retournent à Capitol Hill. Ce calendrier signifie qu’après un vote probable mercredi, Trump pourrait signer la loi mercredi ou jeudi, permettant la réouverture du gouvernement avant la fin de la semaine.
Divisions au sein du Parti démocrate et défis pour l’accord
L’accord négocié par des sénateurs modérés n’a pas réussi à apaiser la lutte menée par les démocrates pour prolonger les subventions de la loi sur la santé abordable (Obamacare), ce qui a provoqué une forte opposition au sein du parti démocrate. Le gouverneur californien Gavin Newsom a qualifié l’accord de « décevant », tandis que le gouverneur de l’Illinois JB Pritzker a critiqué les concessions faites par les républicains comme un « chèque en blanc ».
Ces divisions internes révèlent la difficulté stratégique du Parti démocrate. Les progressistes estiment qu’il faut insister pour prolonger les subventions de l’assurance maladie, sans compromis ; les modérés pensent qu’il faut d’abord mettre fin à la fermeture, puis négocier pour la politique de santé. Finalement, la ligne pragmatique des modérés a prévalu, mais ces divergences pourraient resurgir lors du vote à la Chambre.
Bien que Johnson ait déclaré lundi qu’il pensait obtenir suffisamment de votes, l’adoption du projet par la Chambre n’est pas assurée. Les démocrates s’opposent à tout accord qui ne prolongerait pas les subventions Obamacare, et ce point n’est pas inclus dans le texte. Les républicains conservateurs souhaitent, eux, financer tout le gouvernement jusqu’au 30 septembre de l’année prochaine via une autre loi.
Un facteur complexe concerne le sénateur républicain du Kentucky, Rand Paul, qui pourrait faire traîner le vote de plusieurs jours en s’opposant à une clause limitant la vente de produits à base de cannabis alcoolisé. Connu pour ses principes et ses tactiques de retardement, il pourrait utiliser des moyens procéduraux pour bloquer le vote, retardant ainsi le processus de plusieurs jours.
Cependant, le marché semble estimer que ces obstacles ne seront pas suffisants pour empêcher l’adoption finale de l’accord. La forte reprise des marchés américains témoigne de la confiance dans la déclaration de Trump, qui pense que la fermeture prendra fin cette semaine. Les retards de vols et les retards dans l’aide alimentaire pourraient perdurer jusqu’à la réouverture officielle, mais lundi, les républicains ont célébré leur victoire. Johnson a déclaré aux journalistes que ce « cauchemar » de 41 jours touchait à sa fin.