Du stockage de données à l'inférence AI, des clusters GPU aux centres de données, le monde dans lequel nous vivons est essentiellement une empilement d'architectures cubiques.

Mais le problème est que nous vivons dans un monde construit de cubes, sans jamais posséder un seul cube. Cela me rappelle cette phrase : « Le cultivateur mange du son de riz ; la fileuse n'a pas de vêtements ; la femme qui vend du sel boit une soupe claire, et celle qui tisse des nattes dort sur le sol. »

Les 300 millions d'abonnés de Netflix regardent du contenu via des serveurs AWS, mais les utilisateurs disent simplement qu'ils sont des locataires. La bibliothèque de jeux des 130 millions d'utilisateurs de Steam n'est en réalité qu'un accès loué à l'infrastructure de Valve. Les 15,5 millions d'utilisateurs payants de ChatGPT paient pour accéder à un cluster de 200 000 GPU, OpenAI conserve tous les droits.

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ComputeFi de @cysic_xyz est en train de changer les règles du jeu.

Actuellement, que ce soit pour le raisonnement AI ou pour les preuves ZK, sous l'explosion de la demande. Le taux d'utilisation moyen des GPU est seulement de 50 %, les GPU de jeu dans le monde sont inactifs plus de 22 heures par jour, et le capital computationnel est gravement gaspillé.

Les solutions de ComputeFi : tokeniser la puissance de calcul inactif, permettant aux contributeurs de matériel, aux traders et aux utilisateurs de partager les revenus du réseau.

Digital Compute Cubes en tant que certificat de propriété de l'infrastructure de calcul.

Chaque Cube représente :
1️⃣Droit d'accès prioritaire aux services ComputeFi
2️⃣Droits de vote pour la gouvernance du réseau
3️⃣Droit à la répartition des revenus du réseau
4️⃣ Droit de valeur ajoutée des effets de réseau

Les 29000 Cubes précédemment vendus prouvent que les cubes devraient être possédés, et non loués.

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@cysic_xyz transforme le calcul des services de location en quelque chose que les gens peuvent réellement posséder, façonner et en tirer profit. Les détenteurs de Cubes bénéficient d'un accès prioritaire, de droits de gouvernance, de participation aux revenus et d'effets de réseau. Cela marque le début de l'ère de la propriété computationnelle !