Récemment, j'ai observé un phénomène : lorsqu'un actif a des informations négatives évidentes, certaines personnes ne réagissent pas en mettant en œuvre leur plan de gestion des risques, mais plutôt en demandant partout "Que pensez-vous, professeur ?" "Que devrions-nous faire maintenant ?".

Pour être honnête, cette mentalité de dépendance est assez dangereuse.

Avant d'ouvrir une position, ne pas définir de niveau de stop-loss, et ne penser à demander des conseils qu'après l'effondrement—qui pourra vous sauver à ce moment-là ? Dès qu'une information négative est annoncée, la liquidité s'épuise instantanément, et il est déjà trop tard lorsque les analyses sont faites. De plus, parler publiquement des informations négatives sur des actifs spécifiques peut aggraver la panique et provoquer un second effondrement.

Quand on gagne de l'argent, on se sent comme un génie du trading, mais quand on perd, on blâme les autres de ne pas avoir prévenu ? Qu'en est-il du principe de diversification ? Qu'en est-il de la discipline de stop-loss ? Ce ne sont pas des choses que l'on rencontre pour la première fois, on va encore les rencontrer à plusieurs reprises.

Encore une fois :
Je ne commente jamais les informations négatives ou positives d'un actif individuel, je me concentre uniquement sur les secteurs et les orientations. Mais il y a une règle d'or : avant toute ouverture de position, il faut toujours définir un niveau de stop-loss. Ce niveau de stop-loss est votre dernière ligne de défense face à une information négative imprévue.

Information négative ne peut pas être "interprétée", car l'interprétation elle-même amplifierait la panique ; l'information positive n'a pas besoin que je fasse la promotion, le marché donnera la réponse.

Dans le domaine du trading, ce dont on a besoin, c'est de la capacité à penser de manière indépendante, pas d'un service de nourrice. Ceux qui n'apprécient pas cette logique peuvent tout simplement se désabonner.