La COP30 s'est terminée avec de fortes annonces sur les énergies renouvelables et les changements industriels. Les pays se sont alignés pour promettre des milliards pour les technologies propres. Cela semble génial sur le papier.

Mais voici le hic : quand il s'est agi de réellement éliminer les combustibles fossiles, la salle est devenue silencieuse. Les discours ambitieux sont soudain devenus prudents. La même vieille histoire : des promesses audacieuses sur les énergies renouvelables, des hésitations sur la partie difficile.

Les infrastructures renouvelables sont mises en avant, les plans de sortie des combustibles fossiles sont de nouveau reportés. La transition énergétique avance, mais pas au rythme que réclame l'horloge climatique.