Vous êtes-vous déjà demandé : si le Bitcoin a besoin de mineurs et facture des frais, comment les machines de l’IoT vont-elles effectuer des milliards de microtransactions ? IOTA est arrivée avec une réponse audacieuse : oubliez la blockchain, voici le Tangle.
Une structure qui change la donne
Alors que le Bitcoin empile les blocs de façon séquentielle, IOTA fonctionne comme un graphe acyclique dirigé (DAG). Pas de blocs, pas de mineurs. La sécurité ? Paradoxalement, elle se renforce à mesure que le nombre de transactions augmente—plus il y a d’utilisateurs, plus le réseau devient robuste.
Pour valider une transaction, l’utilisateur approuve lui-même deux transactions antérieures. Résultat : zéro frais, une scalabilité théoriquement infinie.
Des chiffres et des partenariats qui parlent d’eux-mêmes
Bosch, Volkswagen, Fondation Linux—des marques sérieuses. Ces entreprises ne sont pas là pour faire de la figuration : elles veulent une véritable infrastructure M2M (machine à machine).
Mais entre nous, il y a un détail gênant : IOTA a encore besoin d’un coordinateur central pour éviter les attaques. Le projet visant à l’éliminer s’appelle “Coordicide”. Il est encore en développement.
Le vrai défi
Techniquement ambitieux ? Oui. Prêt pour le grand public ? C’est autre chose. La complexité du Tangle est bien supérieure à celle de la blockchain—tant pour l’implémentation que pour l’audit. Et tant que le Coordicide n’est pas opérationnel, la décentralisation promise reste encore incertaine.
Mais la promesse est claire : si le Coordicide voit le jour, IOTA pourrait devenir la base de l’internet des objets dont tout le monde rêve.
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IOTA vs Blockchain : Pourquoi cette cryptomonnaie est-elle différente des autres ?
Vous êtes-vous déjà demandé : si le Bitcoin a besoin de mineurs et facture des frais, comment les machines de l’IoT vont-elles effectuer des milliards de microtransactions ? IOTA est arrivée avec une réponse audacieuse : oubliez la blockchain, voici le Tangle.
Une structure qui change la donne
Alors que le Bitcoin empile les blocs de façon séquentielle, IOTA fonctionne comme un graphe acyclique dirigé (DAG). Pas de blocs, pas de mineurs. La sécurité ? Paradoxalement, elle se renforce à mesure que le nombre de transactions augmente—plus il y a d’utilisateurs, plus le réseau devient robuste.
Pour valider une transaction, l’utilisateur approuve lui-même deux transactions antérieures. Résultat : zéro frais, une scalabilité théoriquement infinie.
Des chiffres et des partenariats qui parlent d’eux-mêmes
Bosch, Volkswagen, Fondation Linux—des marques sérieuses. Ces entreprises ne sont pas là pour faire de la figuration : elles veulent une véritable infrastructure M2M (machine à machine).
Mais entre nous, il y a un détail gênant : IOTA a encore besoin d’un coordinateur central pour éviter les attaques. Le projet visant à l’éliminer s’appelle “Coordicide”. Il est encore en développement.
Le vrai défi
Techniquement ambitieux ? Oui. Prêt pour le grand public ? C’est autre chose. La complexité du Tangle est bien supérieure à celle de la blockchain—tant pour l’implémentation que pour l’audit. Et tant que le Coordicide n’est pas opérationnel, la décentralisation promise reste encore incertaine.
Mais la promesse est claire : si le Coordicide voit le jour, IOTA pourrait devenir la base de l’internet des objets dont tout le monde rêve.