【BlockBeats】Le fondateur d’Ethereum, Vitalik Buterin, a récemment publié une mise à jour pour célébrer le succès du déploiement de la mise à niveau Fusaka. Le principal point fort de cette mise à niveau est PeerDAS — un nom à forte connotation technique, mais qui, en réalité, réalise enfin ce que l’équipe Ethereum envisageait depuis longtemps : faire fonctionner efficacement le sharding des données et l’échantillonnage de disponibilité.
Les avantages directs de la mise à niveau sont très concrets. En augmentant la capacité des blobs, la capacité de traitement des transactions de la couche 2 (Layer 2) a connu une amélioration exponentielle. Selon les dernières analyses de données, cela permet de réduire directement de 40 à 60 % les frais sur L2. Cela dit, sur la couche 1 (Layer 1), on attend toujours que la version EVM de la preuve à connaissance nulle arrive à maturité ; à ce stade, on reste limité par les goulets d’étranglement technologiques liés à la construction décentralisée des blocs et au mempool sharding.
Plus globalement, cette mise à niveau comble une pièce du puzzle qui manquait sur la feuille de route depuis dix ans, depuis la proposition de la vision du sharding d’Ethereum en 2015. Au cours des deux prochaines années, l’accent sera mis sur la stabilisation de PeerDAS, ainsi que sur la manière de libérer réellement la capacité d’extension dans la limite du gaz de la L1, afin de faire à nouveau progresser le débit global du réseau.
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ForkInTheRoad
· 12-06 06:22
Dix ans d’efforts pour enfin réussir le sharding. Mais la couche 1 reste limitée, il faut compter sur la couche 2 pour gérer les problèmes.
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DeFiVeteran
· 12-04 09:53
Dix ans se sont écoulés, le rêve du sharding n'est enfin plus un rêve, j'ai l'impression que ce n'est pas réel haha.
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GreenCandleCollector
· 12-04 09:53
Après dix ans de préparation, l’épée est enfin dégainée. Cette accélération de la Layer2 permettra-t-elle d’en récolter les bénéfices ?
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MoonWaterDroplets
· 12-04 09:40
Ça y est, le rêve de dix ans n'est enfin plus un rêve, le sharding est vraiment devenu réalité.
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pumpamentalist
· 12-04 09:31
Dix ans d’efforts acharnés pour enfin sortir l’épée du fourreau, mais l’obstacle du Layer 1 reste encore difficile à franchir.
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GhostWalletSleuth
· 12-04 09:31
Un rêve de dix ans enfin réalisé, mais pour être honnête, la Layer 1 reste un goulot d'étranglement. Ces deux prochaines années, tout dépendra vraiment des performances de PeerDAS pour assurer la stabilité.
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ProtocolRebel
· 12-04 09:30
C'est enfin arrivé, dix ans de travail acharné, le rêve du sharding n'est plus seulement une présentation PowerPoint.
La mise à niveau Fusaka d'Ethereum est déployée : le rêve de dix ans du sharding évoqué par Vitalik Buterin devient enfin réalité.
【BlockBeats】Le fondateur d’Ethereum, Vitalik Buterin, a récemment publié une mise à jour pour célébrer le succès du déploiement de la mise à niveau Fusaka. Le principal point fort de cette mise à niveau est PeerDAS — un nom à forte connotation technique, mais qui, en réalité, réalise enfin ce que l’équipe Ethereum envisageait depuis longtemps : faire fonctionner efficacement le sharding des données et l’échantillonnage de disponibilité.
Les avantages directs de la mise à niveau sont très concrets. En augmentant la capacité des blobs, la capacité de traitement des transactions de la couche 2 (Layer 2) a connu une amélioration exponentielle. Selon les dernières analyses de données, cela permet de réduire directement de 40 à 60 % les frais sur L2. Cela dit, sur la couche 1 (Layer 1), on attend toujours que la version EVM de la preuve à connaissance nulle arrive à maturité ; à ce stade, on reste limité par les goulets d’étranglement technologiques liés à la construction décentralisée des blocs et au mempool sharding.
Plus globalement, cette mise à niveau comble une pièce du puzzle qui manquait sur la feuille de route depuis dix ans, depuis la proposition de la vision du sharding d’Ethereum en 2015. Au cours des deux prochaines années, l’accent sera mis sur la stabilisation de PeerDAS, ainsi que sur la manière de libérer réellement la capacité d’extension dans la limite du gaz de la L1, afin de faire à nouveau progresser le débit global du réseau.